L'histoire de nos vie

Citation :: Les guerriers de Bastèteht.

Des histoires mythiques, des fables d’autrefois, chaque peuple avait les siennes à raconter… Mais qui pouvait parler de cette histoire qui jadis se racontait en de bien lointaines et anciennes contrées ?
Une légende si terrible que rares étaient les gens qui osaient appeler par leurs noms les seigneurs et les dames dont celle-ci parlait.
Et cette histoire nous apprend qu'en de rarissimes occasions, il était possible pour de simples mortels de contempler la puissance des dieux et ainsi d’effleurer l’immortalité. Mais à quel prix, si pour cela l’on doit subir le courroux de ces entités et en devenir à jamais maudit ? A quoi bon se cacher comme la vermine et se voir refuser une deuxième chance de toucher à la vie éternelle et aux pouvoirs suprême ?

Vous vous demandez sans doute comment cela fut possible. Soyez patient, je vais vous conter cette sombre histoire dès à présent. ..

Tout commence en des temps si reculés qu'aucun calendrier à cette époque n‘existait encore. Une époque au cours de laquelle les années furent particulièrement glorieuses pour une cinquantaine de royaumes, dont le Drale, le Pandora et le Vorte. En effet, leurs emprises économiques et militaires étaient telles que personne, à quelques nobles près, n’avait les capacités pour rivaliser avec eux. Cependant, ne pouvant se permettre d’empiéter sur le territoire et les affaires des uns des autres, et ce afin d’éviter tout conflit inhalateur entre leurs royaumes, l’idée de s’unir sous une même bannière leurs vînt à l’esprit, alors que leurs royaumes ne cessèrent de s’enrichir et de s’accroître.
Ainsi réunis, les années s’écoulèrent tranquillement jusqu’à ce que leurs armées deviennent si puissantes, qu’elles en étouffaient la prospérité et la progression des plus petits. On dit des trois royaumes que le Drale était sans conteste le plus majestueux de tous les royaumes de l'empire, que le Pandora le plus attrayant pour les peuples dû certainement à ses vertes collines, quand aux Vorte, seul son armée était reconnue, la capital de ce dernier était construit sur énorme falaise. Ils purent obtenir tout ce dont-ils avaient envie, ainsi que tout ce que l'île avait à leurs offrir ; mais ils en voulaient plus… Toujours plus. C’est donc atteint d’une cupidité maladive qu’ils massacrèrent tout sur leurs passages, ne laissant personnes en paix et pillant tout ce qu‘ils pouvaient. L’on racontait même qu'ils allaient jusqu’à tuer si cela pouvait leur rapporter une simple pépite d‘or.
Et les années passèrent ainsi de suite, laissant peu à peu des traces de leurs passages sur la peau des ces chevaliers pervertis, ils comprirent que le temps et la vieillesse allaient très vite devenir des obstacles dans leurs démente quête.
C’est donc effrayé par l’idée de mourir, qu’un bien triste jour, l'un deux émit l’absurde et inconcevable idée de s'approprier les pouvoirs des dieux, afin qu’ils puissent tous être figés dans l’immortalité de leurs gloire et ainsi devenir leurs propres divinités.
Mais pour tenter une telle chose, encore fallait-il avoir l’audace de tendre un piège aux dieux en les appelants de forces… C'est ainsi qu'un jour, effrits, dragons, liches, loups et autres créatures appartenant aux guerriers détruisirent tous les temples païens et massacrèrent les différents servants et fanatiques des dieux, pour que ces derniers daignent enfin apparaître.

Bien entendu les dieux n’avaient nulle raison de se présenter à des êtres aussi peut respectueux envers les cultes… C’est pourquoi ils chargèrent leurs meilleurs champions, héros ou assassins selon leur alignement, de mettre un terme à ces ignominies : par la diplomatie, ou bien la mort. Une rencontre entre les différents partis eut donc lieu au centre d’une ancienne citée en ruine que l’on nommait jadis, Ertunisse.
L‘atmosphère y était des plus chaotique... Et bien que la beauté des lieux reste intacte malgré les nombreuses destructions, on pouvait même encore apercevoir les marques ensanglantées des meurtres qui y furent perpétrés.
Hélas la rencontre tourna au drame, et les guerriers commirent l'irréparable en assassinant de la plus terrible manière qu’il soit les élus divins.
Lorsque les dieux apprirent la mort de leurs héros, le jour devint nuit, Sédä et Nepë apparurent et leurs couleurs changèrent, se rapprochant de plus en plus en un rouge pourpre, couleur sang. Face à une telle provocation, les dieux en guise de représailles brûlèrent les cités appartenant aux guerriers…
Les éclairs percèrent le ciel, la terre trembla et l’air devint aussi toxique que du venin.
Suite à ça, les armées tombèrent, les peuples moururent, et les infâmes guerriers lentement moururent les uns après les autres… Mais quatre d’entre eux survécurent tout de même.
Ils choisirent de rentrer chez eux au plus vite mais une fois aux portes de leurs cités, ils y découvrirent la désolation qui y régnait à présent.
Désormais ruinés et n'ayant nulle part ou aller, ils choisirent donc à contre cœur la vie de nomade. On dit aussi qu'ils reformèrent leurs armées, petit à petit : continuant de piller, tuer et détruire tout sur leurs passages. Et tout ceci en prenant garde aux dieux et à leurs légions.

Puis vînt en l'an 120, le plus grand de tous les carnages ! Une catastrophe naturelle vînt engloutir les îles de l'empire et en anéantir la moindre parcelle. Cependant, des navires impériaux furent préparés afin de fuirent vers deux nouvelles îles et d’y transporter à l’abri les nobles de bonnes fortunes. Ainsi l'empire se reforma sur ces dernières, laissant aux guerriers l’opportunité de refaire leurs armées sur l'une de ces nouvelles terres… Une terre que l'on nomma Nasta, la « Pointe de flèche».
Toutefois, pour ne plus être persécuté par les dieux païens, ils durent se rendre dans le temple d'une déesse, qualifié comme l’une des plus sanguinaires afin de lui demander protection en échange de leurs loyautés.
Cette dernière accepta sans hésiter et ainsi ils purent se préparer à de nouvelles batailles, à de nouvelles guerres, plus cruelles et sanglantes que jamais. Combattant désormais pour une déesse païenne, voué à la mort nommée Bastèteht.
Néanmoins, on racontait que celle-ci demanda à ses nouveaux champions de lui fournir continuellement des âmes. Ne reculant alors devant rien pour garantir leur protection, les carnages ne devaient plus cesser !

Cette histoire est vraiment plus qu’invraisemblable pour vous?
En effet… Il paraîtrait même qu’il ne s’agit là que d’un grossier mensonge.
Mais il y a une autre fin à celle-ci. Du moins pour vous… Ma déesse ne pourrait se passer de votre âme, et bientôt, cette dernière lui appartiendra !

Citation :: Les guerriers de Bastèteht : La vengeance.

Les origines :

Des histoires mythiques, des fables d’autrefois, chaque peuple avait les siennes à raconter… Mais qui pouvait parler de cette histoire qui jadis se racontait en de bien lointaines et anciennes contrées ?
Une légende si terrible que rares étaient les gens qui osaient appeler par leurs noms les seigneurs et les dames dont celle-ci parlait.
Et cette histoire nous apprend qu'en de rarissimes occasions, il était possible pour de simples mortels de contempler la puissance des dieux et ainsi d’effleurer l’immortalité. Mais à quel prix, si pour cela l’on doit subir le courroux de ces entités et en devenir à jamais maudit ? A quoi bon se cacher comme la vermine et se voir refuser une deuxième chance de toucher à la vie éternelle et aux pouvoirs suprême ?

Vous vous demandez sans doute comment cela fut possible. Soyez patient, je vais vous conter cette sombre histoire dès à présent. ..

Tout commence en des temps si reculés qu'aucun calendrier à cette époque n‘existait encore. Une époque au cours de laquelle les années furent particulièrement glorieuses pour une cinquantaine de royaumes, dont le Drale, le Pandora et le Vorte. En effet, leurs emprises économiques et militaires étaient telles que personne, à quelques nobles près, n’avait les capacités pour rivaliser avec eux. Cependant, ne pouvant se permettre d’empiéter sur le territoire et les affaires des uns des autres, et ce afin d’éviter tout conflit inhalateur entre leurs royaumes, l’idée de s’unir sous une même bannière leurs vînt à l’esprit, alors que leurs royaumes ne cessèrent de s’enrichir et de s’accroître.
Ainsi réunis, les années s’écoulèrent tranquillement jusqu’à ce que leurs armées deviennent si puissantes, qu’elles en étouffaient la prospérité et la progression des plus petits. On dit des trois royaumes que le Drale était sans conteste le plus majestueux de tous les royaumes de l'empire, que le Pandora le plus attrayant pour les peuples dû certainement à ses vertes collines, quand aux Vorte, seul son armée était reconnue, la capital de ce dernier était construit sur énorme falaise. Ils purent obtenir tout ce dont-ils avaient envie, ainsi que tout ce que l'île avait à leurs offrir ; mais ils en voulaient plus… Toujours plus. C’est donc atteint d’une cupidité maladive qu’ils massacrèrent tout sur leurs passages, ne laissant personnes en paix et pillant tout ce qu‘ils pouvaient. L’on racontait même qu'ils allaient jusqu’à tuer si cela pouvait leur rapporter une simple pépite d‘or.
Et les années passèrent ainsi de suite, laissant peu à peu des traces de leurs passages sur la peau des ces chevaliers pervertis, ils comprirent que le temps et la vieillesse allaient très vite devenir des obstacles dans leurs démente quête.
C’est donc effrayé par l’idée de mourir, qu’un bien triste jour, l'un deux émit l’absurde et inconcevable idée de s'approprier les pouvoirs des dieux, afin qu’ils puissent tous être figés dans l’immortalité de leurs gloire et ainsi devenir leurs propres divinités.
Mais pour tenter une telle chose, encore fallait-il avoir l’audace de tendre un piège aux dieux en les appelants de forces… C'est ainsi qu'un jour, effrits, dragons, liches, loups et autres créatures appartenant aux guerriers détruisirent tous les temples païens et massacrèrent les différents servants et fanatiques des dieux, pour que ces derniers daignent enfin apparaître.

Bien entendu les dieux n’avaient nulle raison de se présenter à des êtres aussi peut respectueux envers les cultes… C’est pourquoi ils chargèrent leurs meilleurs champions, héros ou assassins selon leur alignement, de mettre un terme à ces ignominies : par la diplomatie, ou bien la mort. Une rencontre entre les différents partis eut donc lieu au centre d’une ancienne citée en ruine que l’on nommait jadis, Ertunisse.
L‘atmosphère y était des plus chaotique... Et bien que la beauté des lieux reste intacte malgré les nombreuses destructions, on pouvait même encore apercevoir les marques ensanglantées des meurtres qui y furent perpétrés.
Hélas la rencontre tourna au drame, et les guerriers commirent l'irréparable en assassinant de la plus terrible manière qu’il soit les élus divins.
Lorsque les dieux apprirent la mort de leurs héros, le jour devint nuit, Sédä et Nepë apparurent et leurs couleurs changèrent, se rapprochant de plus en plus en un rouge pourpre, couleur sang. Face à une telle provocation, les dieux en guise de représailles brûlèrent les cités appartenant aux guerriers…
Les éclairs percèrent le ciel, la terre trembla et l’air devint aussi toxique que du venin.
Suite à ça, les armées tombèrent, les peuples moururent, et les infâmes guerriers lentement moururent les uns après les autres… Mais quatre d’entre eux survécurent tout de même.
Ils choisirent de rentrer chez eux au plus vite mais une fois aux portes de leurs cités, ils y découvrirent la désolation qui y régnait à présent.
Désormais ruinés et n'ayant nulle part ou aller, ils choisirent donc à contre cœur la vie de nomade. On dit aussi qu'ils reformèrent leurs armées, petit à petit : continuant de piller, tuer et détruire tout sur leurs passages. Et tout ceci en prenant garde aux dieux et à leurs légions.

Puis vînt en l'an 120, le plus grand de tous les carnages ! Une catastrophe naturelle vînt engloutir les îles de l'empire et en anéantir la moindre parcelle. Cependant, des navires impériaux furent préparés afin de fuirent vers deux nouvelles îles et d’y transporter à l’abri les nobles de bonnes fortunes. Ainsi l'empire se reforma sur ces dernières, laissant aux guerriers l’opportunité de refaire leurs armées sur l'une de ces nouvelles terres… Une terre que l'on nomma Nasta, la « Pointe de flèche».
Toutefois, pour ne plus être persécuté par les dieux païens, ils durent se rendre dans le temple d'une déesse, qualifié comme l’une des plus sanguinaires afin de lui demander protection en échange de leurs loyautés.
Cette dernière accepta sans hésiter et ainsi ils purent se préparer à de nouvelles batailles, à de nouvelles guerres, plus cruelles et sanglantes que jamais. Combattant désormais pour une déesse païenne, voué à la mort nommée Bastèteht.
Néanmoins, on racontait que celle-ci demanda à ses nouveaux champions de lui fournir continuellement des âmes. Ne reculant alors devant rien pour garantir leur protection, les carnages ne devaient plus cesser !

La disparition :

Mais voilà que quelques temps plus tard sous la bannière de Bastèteht, les guerriers se heurtèrent aux armées des autres guildes et se vinrent forcés de déclarer de nouvelles guerres. Les combats furent nombreux et intenses, aucun ne voulaient céder la moindre parcelle de terre, si bien qu'un jour, épuisés par d'intense combat les armées se firent balayer par de mystérieuses troupes. Nul ne sait d'où elles provenaient, ni où elles allaient, la seule chose que l'on savait d'elles, étaient que ces dernières, eues en un rien de temps vaincues l'une des guildes les plus meurtrières des dernières décennies.

Un retour inattendu :

Des années passèrent, aucun des responsables impériaux, ni même l'empereur lui-même n'entendit plus parler des guerriers de Bastèteht. Ils eurent simplement disparus, comme par simple enchantement. Puis vînt l'an 182, un royaume nommé Aaiè était réapparu de nulle part, se permettant de narguer les plus puissants seigneurs de l'île. Utilisant son armée pour la capture de nouveaux esclaves. Selon ce que l'on raconte en Yanwë, la dirigeante de ce royaume << Dame Tusy>> obligerai ces derniers à se convertir à sa déesse ou bien à mourir.
Un autre royaume commençait également à attirer les regards, il s'agissait du royaume nommé Krenox, dont le dirigeant <<le seigneur Zorix>> semblait être un ami proche de Tusy. On apprendra deux ans plus tard, en l'an 184, qu'ils sont les deux seuls guerriers encore vivant et qu'ils eurent changés le nom de leurs royaumes afin de ne pas être achevés par les mystérieuses armées.
Ensemble ils ne souhaitent qu'une chose ; venger leurs soeurs et leurs frères disparus ou mort durant la bataille qui leurs eus coûtés si cher.

Cette histoire est vraiment plus qu’invraisemblable pour vous?
En effet… Il paraîtrait même qu’il ne s’agit là que d’un grossier mensonge.
Mais il y a une autre fin à celle-ci. Du moins pour vous… Ma déesse ne pourrait se passer de votre âme, et bientôt, cette dernière lui appartiendra !